« Le monde nous guérit lorsque nous cessons de nous replier sur nous-mêmes et de nous ouvrir à la réalité » – .
Publié le 27 avril 2024 à 18h17 / Modifié le 27 avril 2024 à 19h08
Lorsque quelque chose nous dérange, nous optons généralement pour deux attitudes. Soit on ressasse sans cesse la difficulté, et, observe Fabrice Midal, on reste sur place car « une boucle n’a pas d’issue ». Soit on opte pour une forme de « capitalisme psychique », c’est-à-dire qu’on résout le désagrément sans s’impliquer, comme on répare un objet cassé.
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