Publié le 23 mars 2024 à 14h08 / Modifié le 23 mars 2024 à 14h09
De manière inattendue, Jacques Probst nous envoie de ses nouvelles : une poignée de poèmes crépusculaires, à la fois apparemment légers (par leurs rimes, leur fraîcheur, leur fausse candeur) et obscurs totaux.
Comédien et dramaturge, notamment du monologue inoubliable Torito (à relire dans la poche Huit monologuespublié chez Campiche en 2005), le Genevois avait disparu de la circulation après avoir lu en public les très beaux et prometteurs extraits d’un nouveau roman, attendu avec ferveur, annoncé depuis des années, mais qu’il gardait d’envoyer à son éditeur.
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