Aujourd’hui à 14h00 – par Simon González
Ce mercredi 27 novembre à 21h10, C8 diffuse le nouveau film Gagner ou mourir avec Hugo Becker, Rod Paradot et Gilles Cohen. Hugo Becker a suivi une formation intensive pour les besoins du long métrage tourné dans un lieu emblématique de France.
Une histoire peu connue. Ce mercredi 27 novembre à 21h10, C8 diffuse le nouveau film Gagner ou mourir avec Hugo Becker, Rod Paradot et Gilles Cohen. Ce long métrage nous plonge dans une période bien précise de l’Histoire de France : la Révolution. On suit les aventures de Charette, lieutenant de la Royal Navy, qui démissionne et se retire dans son château en Vendée. En 1793, alors que la colère populaire grandit et menace de déstabiliser le gouvernement, les paysans demandent à Charette de prendre les rênes de la révolte. Vincent Mottez et Paul Mignot, les directeurs de Gagner ou mourirn’ont ménagé aucun effort pour offrir aux cinéphiles un spectacle grandeur nature.
Gagner ou mourir a élu domicile au Puy du Fou
En effet, de nombreuses scènes de combat se déroulent dans le film pour rendre compte avec justesse de l’insurrection royaliste. Pour plonger le spectateur dans des décors réalistes, les deux réalisateurs ont posé leurs valises dans un décor inédit : Puy du Fou. Avec un budget inférieur à 5 millions d’euros, Gagner ou mourir a été tourné presque entièrement dans le parc à thème, en hiver avec ses chevaux et ses décors. Une manière d’optimiser le budget. « Le Puy du Fou est ancré dans un territoire profondément marqué par la guerre de Vendée (1793-96). C’est donc une thématique familière au Puy du Fou, qui l’est en revanche beaucoup moins en dehors de la Vendée et du grand Ouest. Une grande partie du public découvrira cette page méconnue de l’histoire de France. dirent les directeurs.
Gagner ou mourir : la préparation intense d’Hugo Becker
Hugo Becker a suivi une formation intensive pour incarner au mieux Charette. Il tourne avec les cascadeurs du Puy du Fou et se forme à l’escrime et à l’équitation. « Il a vraiment fait tout son possible pour réaliser lui-même ses scènes de galop et de combat. Il s’est beaucoup préparé et s’est impliqué. Il est très exigeant envers lui-même et attentif à chaque détail”, » ont déclaré les réalisateurs dans une interview.