“Votre Majesté, il n’y a pas de seconde”, fut murmuré à la reine Victoria en 1851, lorsque la goélette Amérique avait relégué toute une armada britannique encore plus loin que le brouillard dans ce qui fut les débuts de l’America’s Cup autour de l’île de Wight, au sud de l’Angleterre. Yoann Richomme, qui a pourtant fait l’essentiel de ses humanités dans le royaume britannique, utilise souvent la grande diversité de la langue française. “Tu ne vas pas nous énerver la prochaine fois”s’est-il permis de dire à Charlie Dalin mercredi matin. Ils venaient de s’enlacer longuement, mêlant la douche tahitienne du revenu de la veille (en 64 jours 19:22’49”) aux bulles de champagne de celui qui peut avoir l’honneur d’être un bon second.
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