Espace et modularité
Reste que ce nom permet aussi de positionner immédiatement le nouveau modèle : il s’agit bien d’un SUV urbain de 4,28 m de long, à classer dans la catégorie des Smart #1, Volvo EX30 ou encore Peugeot e- 2008. Il est, dans un en quelque sorte, l’alter-ego électrique de l’excellente Toyota Yaris Cross. De ce dernier, il se distingue par un empattement légèrement plus long, ce qui profite à l’habitabilité arrière. La capacité du coffre n’a pas encore été dévoilée, mais la modularité sera au rendez-vous avec une banquette rabattable en trois parties et des sièges arrière coulissants.
Le tableau de bord marque également une véritable nouveauté pour Toyota, avec plus d’écrans et moins de boutons. Espérons que l’ergonomie reste soignée et pratique à utiliser malgré tout.
Le choix des armes
Le Toyota Urban Cruiser repose sur une nouvelle plateforme dédiée aux véhicules électriques. Dans ce cas, il peut embarquer deux batteries de 49 ou 61 kWh. Le premier n’est proposé qu’en traction 144 ch ; la seconde laisse le choix entre une traction de 174 ch ou une transmission intégrale de 184 ch. Des chiffres qui rappellent ceux de la Suzuki e-Vitara apparue il y a quelques semaines et pour cause : les deux marques sont – une nouvelle fois – partenaires sur ce modèle. Ni Toyota ni Suzuki ne communiquent l’autonomie pour l’instant, mais le premier précise que l’Urban Cruiser sera automatiquement équipé d’une pompe à chaleur et d’un préchauffage manuel de la batterie, évitant ainsi une surconsommation en conditions hivernales.
Rendez-vous le 10 janvier au Salon de l’Auto pour, nous l’espérons, en savoir un peu plus sur son autonomie, son coffre… et son prix.
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