Elon Musk (Tesla, SpaceX, des liens de plus en plus étroits entre le président élu et la communauté technologique.
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“Ils seront à l’honneur lors de la cérémonie, assis ensemble sur l’estrade avec d’autres invités de marque, dont des membres du cabinet de M. Trump”, indique l’article de NBC publié mardi, en s’appuyant sur une source impliquée dans l’organisation de l’événement.
Les trois figures emblématiques du domaine de la technologie américaine ont courtisé le président élu ces derniers mois, avec plus ou moins de ferveur.
Elon Musk est devenu un incontournable de la campagne électorale républicaine, à laquelle il a contribué de manière significative par des dons financiers massifs et des réunions politiques.
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Le patron de Tesla, PDG de SpaceX et propriétaire de X a ainsi acquis une forte influence politique et obtenu une mission extragouvernementale de déréglementation et de réduction des dépenses publiques.
L’homme le plus riche du monde avait déjà entamé son virage vers la droite il y a des années.
Le revirement est plus récent pour Jeff Bezos et Mark Zuckerberg. Le fondateur et président d’Amazon s’est battu contre la première administration Trump au sujet des gros contrats de défense attribués à Microsoft, son rival en matière de cloud computing.
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Cette fois, Jeff Bezos – qui possède également une société spatiale, Blue Origin, à la traîne de SpaceX – a adopté une posture différente.
Il a empêché le Washington Postdont il est propriétaire, pour soutenir la candidate démocrate Kamala Harris. Et Amazon a payé 1 million de dollars pour la cérémonie d’investiture du président élu à Washington lundi.
Meta a donné le même montant.
Si Donald Trump n’a pas épargné les trois hommes et leurs entreprises par le passé, c’est Mark Zuckerberg qui semblait le plus bas dans son estime.
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Cet été encore, l’ancien président des États-Unis a menacé d’emprisonner le patron de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) s’il remportait les élections de novembre, en raison de la décision de Facebook de le bannir début 2021, après l’assaut de la capitale par ses admirateurs.
Mais depuis sa victoire, Mark Zuckerberg a multiplié les avancées : il a dîné avec lui, nommé plusieurs de ses alliés à des postes clés, mis fin à des programmes (anti-désinformation, prodiversité) très critiqués par les conservateurs et assoupli les règles de modération. contenus sur Facebook et Instagram, à l’instar de Twitter, devenu X sous Musk.