Le PDG d’une célèbre entreprise révèle LA phrase coup de grâce lors d’un entretien d’embauche

Le PDG d’une célèbre entreprise révèle LA phrase coup de grâce lors d’un entretien d’embauche
Le PDG d’une célèbre entreprise révèle LA phrase coup de grâce lors d’un entretien d’embauche

« Cela en dit long sur ses priorités et son professionnalisme, explique ce grand patron. Voici quelle phrase ne pas prononcer lors d’un entretien d’embauche.

Vous préparez un entretien d’embauche comme un marathon : peaufinez votre CV, planifiez vos réponses aux questions classiques, répétez votre discours sur vos expériences. Pourtant, un détail souvent sous-estimé pourrait bien vous faire trébucher, même si vous êtes un as de l’exercice. Selon Gary Shapiro, PDG de la Consumer Technology Association (CTA), une seule phrase peut être fatale.

Face à un recruteur, tout compte : vos paroles, vos gestes, mais aussi les valeurs que vous portez. Selon Gary Shapiro, ce ne sont pas seulement les diplômes obtenus ou les compétences acquises qui l’aideront à prendre sa décision. Ce dernier, habitué au recrutement stratégique, attache une grande importance à la manière dont un candidat quitte son précédent employeur. « Je veux des collaborateurs qui font preuve d’un réel sens de l’engagement, même lorsqu’ils souhaitent changer d’horizon »il explique.

Concrètement, lorsque ce manager pose cette question à un candidat : « Dans combien de temps pourriez-vous commencer si vous obteniez ce travail ? » Il vaut mieux ne pas répondre ensuite. “Ceux qui me disent qu’ils peuvent commencer immédiatement ou dans quelques jours, alors qu’ils sont encore en poste, n’obtiendront pas le poste”, déclare-t-il sans ambages.

Pour quoi ? Car un salarié prêt à partir précipitamment – ​​s’il parvient à négocier la durée de son préavis – donne l’impression qu’il pourrait traiter sa future entreprise avec… la même désinvolture ! « Si quelqu’un ne donne pas un préavis raisonnable ou ne s’acquitte pas de ses responsabilités, cela en dit long sur ses priorités et son professionnalisme. »insiste-t-il. Ce PDG estime qu’un bon candidat doit démontrer qu’il respecte suffisamment son ancien employeur pour assurer une transition en douceur.

La preuve ? Lorsqu’il a recruté un responsable des opérations, la candidate idéale a expliqué qu’il lui faudrait six semaines pour quitter son poste actuel. Bingo ! Pour Gary Shapiro, cette réponse incarnait l’équilibre parfait entre ambition et respect de son équipe. Alors, la prochaine fois qu’on vous posera cette question fatidique, réfléchissez-y : vouloir impressionner en se lançant pourrait bien être votre pire écueil.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Baisse attendue des Bourses européennes sur fond de risque politique en France – 12/02/2024 à 08:23
NEXT Chez Migros à Delémont, reportage des bénévoles des boîtes du cœur