Dès lundi, les parents pourront ouvrir un plan d’épargne « avenir climatique » pour leurs enfants de moins de 21 ans. L’objectif ? Financer la transition écologique.
Hahahahaha
Je rappelle à ceux qui savent encore compter qu’il n’y a rien de profitable dans la transition.
Ce n’est pas que je sois pour ou contre, c’est que dans les faits, tout ce qui est vert est totalement subventionné. Des voitures électriques aux panneaux solaires, en passant par les éoliennes ou même une pompe à chaleur, rien n’est vendu sans que l’État n’en paye la moitié.
Autant dire que lorsqu’on investit dans la « transition », on investit dans les subventions !
Cela pourrait être une bonne idée dans un pays riche et sans dette.
Mais dans un pays avec 3,16 trillions d’euros de dette, cela semble moins évident.
Alors faites ce que vous voulez, contribuez au PEAC, donnez votre argent aux gentils banquiers qui collecteront votre épargne qui sera investie dans des véhicules dédiés à la transition écologique.
« Le PEAC a en effet vocation à financer des projets bas carbone (éolien, photovoltaïque, hydrogène…). Il peut s’agir d’actions ou d’obligations d’entreprises labellisées ISR (investissement socialement responsable, label France finance verte) ou s’étant engagées à respecter les exigences de l’Accord de Paris. »
« A l’instar du plan d’épargne retraite (PER) qui propose la même gestion pilotée, l’épargne investie sera confiée à un gestionnaire dont la mission sera de sécuriser le capital à l’approche de l’échéance. Les textes prévoient que la part des actifs ayant un profil d’investissement peu risqué doit être égale au moins à 70 % du PEAC en cours deux ans avant la date de liquidation. Le titulaire du PER peut toutefois opter pour une gestion libre. »
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a toujours indiqué que le rendement de ce produit serait « plus attractif que celui du livret A », actuellement de 3 %. Contrairement à ce livret réglementé, la rémunération du PEAC ne sera pas fixée par les pouvoirs publics, mais dépendra des aléas des marchés financiers et de la performance des entreprises référencées. Le PEAC entre dans la catégorie des placements à risque. »
Voilà, si vous voulez en savoir plus, renseignez-vous !
Parce qu’entre nous, quand l’État, qui ne sait pas gérer le pays, me dit où je dois mettre mon argent… Je fais le chemin inverse parce que je n’aime pas qu’on me mène en bateau ou qu’on me prenne pour un imbécile.
La transition n’est pas rentable et le risque est que, comme toujours, nous soyons le pendant des gros canons qui nous transmettront leurs lignes moisies…
Charles SANNAT
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