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Même si l’inflation continue de ralentir son cours, la situation économique des Français n’en demeure pas moins préoccupante. Les locataires, en particulier, assistent impuissants à la hausse des loyers. Et nous ne parlons pas d’une petite augmentation.

En effet, entre 2009 et 2019, cette augmentation est de 16 %. Le logement en France est désormais un défi pour des milliers de personnes. Malheureusement, nous n’avons pas de bonnes nouvelles à annoncer aux locataires.. Si les propriétaires se plaignent de la hausse des taxes foncières, ceux qui occupent le logement regrettent cette hausse constante des prix.

Les loyers augmentent constamment pour les locataires

Entre 2003 et 2023, les loyers ont augmenté en moyenne de 1,4 % par an. Bien que ce taux soit inférieur à l’inflation générale de 1,7% sur la même période, Cela représente tout de même une augmentation significative pour les locataires. Malheureusement, la tendance ne semble pas s’inverser.

Le 31 mars a marqué la fin d’une protection cruciale pour les locataires en France. Pour contrer les effets d’une inflation record, le gouvernement avait mis en place un bouclier limitant la hausse des loyers à 3,5 %. Cette mesure visait à protéger le pouvoir d’achat des Français. Or, depuis le 31 mars 2024, cette protection n’est plus en vigueur. Évidemment, ce n’est pas une bonne nouvelle pour les locataires.

Avoir
Mauvaise nouvelle pour les locataires, augmentations de loyers attendues à partir de juillet

En théorie, les loyers pourraient donc augmenter au-delà de 3,5%. Mais les propriétaires ne font pas ce qu’ils veulent. Pour augmenter les loyers, ils doivent suivre une méthode de calcul stricte.

Une méthode d’ajustement du montant du loyer

En France, les propriétaires peuvent augmenter les loyers chaque année en fonction de l’évolution de l’Indice de Référence des Loyers (IRL). Le loyer est réajusté annuellement en fonction de l’IRL du trimestre précisé au bail. Par exemple, si le loyer IRL du premier trimestre augmente de 2 % par rapport à l’année précédente, le loyer peut également augmenter de 2 %.

La suppression du plafond de 3,5 % signifie que les augmentations de loyer ne seront plus limitées lors de la prochaine publication de l’IRL en juillet. Cela suscite l’inquiétude de nombreux locataires, qui craignent des augmentations de loyer importantes.

Elles peuvent néanmoins être liées à des nouvelles relativement bonnes. En effet, puisque l’inflation ralentit pour s’approcher de 2%, la hausse de l’IRL sera plus modérée qu’en 2023. C’est aussi pour cela que le gouvernement a décidé de mettre fin au bouclier pour les locataires.

Une augmentation relative pour les locataires ?

Selon l’Insee, les hausses de prix sont actuellement de l’ordre de 2,5 %. Les augmentations de loyer devraient donc être inférieures à l’ancien plafond de 3,5 %. Le premier IRL non plafonné, reflétant l’évolution du deuxième trimestre 2024, sera publié mi-juillet.

Avoir
Locataires : mauvaise nouvelle, les loyers risquent de flamber dans les prochains mois en France

Malgré la fin de la protection légale, les locataires pourraient bénéficier d’une situation économique plus favorable. Les réévaluations futures devraient être comprises entre 2 et 3% pour les mois à venirce qui pourrait atténuer l’impact financier de la fin du bouclier anti-augmentation des loyers.

Bien entendu, nous sommes satisfaits de cette augmentation relative, inférieure au bouclier. En revanche, c’est toujours une augmentation. Payer 2,5 % de plus chaque mois pour son loyer est un défi pour les locataires. Un défi de plus.

 
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