Boycotter
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Fermée deux jours après son ouverture, la première enseigne de restauration rapide au poulet frit installée dans la banlieue d’Alger a rouvert ses portes. De nombreux Algériens, fervents défenseurs de la cause palestinienne, reprochent à la chaîne son soutien à Israël.
Il s’ouvre, se ferme, puis se rouvre sans logo. A peine quarante-huit heures après son inauguration, le premier restaurant KFC d’Algérie avait déjà fermé le rideau dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 avril. Il a finalement rouvert dans l’après-midi, mais sans le portrait emblématique de son fondateur, le colonel Sanders. . L’inauguration du premier restaurant KFC du pays, dimanche 14 avril, a suscité une vive polémique sur les réseaux sociaux. En signe de protestation contre la chaîne de restaurants américaine, accusée de soutenir Israël, une dizaine de jeunes militants pro-palestiniens se sont rassemblés devant le bâtiment pour appeler au boycott. Une action filmée qui a rapidement provoqué une réaction. Comme le montrent plusieurs vidéos publiées au petit matin de mercredi, sur une vidéo du média francophone TSA, on n’en voit plus trace. Mais quelques heures plus tard, surprise, le fast-food rouvre à nouveau.
Un post Instagram pour calmer le jeu
Avant l’inauguration de KFC, l’Algérie était l’un des derniers pays du continent à ne pas compter de restaurants occidentaux, comme McDonald’s ou Burger King, depuis le départ de Quick il y a quelques années. Dès le premier jour, et malgré une foule nombreuse qui s’est précipitée pour commander
