Héma-Québec met en valeur ses bénévoles

Héma-Québec met en valeur ses bénévoles
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Parmi eux, Nicolas Bergeron, 24 ans, qui s’implique au sein de l’organisation depuis maintenant six ans. Il a fait son premier don de sang à l’âge de 18 ans, lors de l’organisation d’une collecte de sang mobile à son cégep auquel il s’est inscrit.

« Je me suis dit : ça y est, c’est tout ? J’ai vu que c’était assez simple, qu’un petit geste pouvait faire une grande différence dans la vie de quelqu’un dans notre communauté », a-t-il déclaré en entrevue.

Après ce premier don, il a commencé à donner du sang plus régulièrement, environ une fois par an.

« Il y avait la collection sur le campus, mais même après le cégep, ma collection qui est devenue ma collection préférée était celle des Canadiens au Centre Bell », raconte-t-il.

«Mais récemment, en 2023, après qu’un bénévole d’Héma-Québec m’a parlé de l’importance du don de plasma, une de mes résolutions en 2023 était de commencer à donner plus fréquemment, et de commencer à donner du plasma, pour diversifier aussi mes dons», a-t-il ajouté. . M. Bergeron a déjà fait 16 dons.

C’est aussi l’année dernière qu’il a commencé à s’impliquer au sein de l’aile jeunesse d’Héma-Québec, qui regroupe des jeunes bénévoles âgés de 18 à 30 ans. Il a appris son existence lorsqu’un ambassadeur de l’unité jeunesse était présent à l’Université Concordia lors d’une tournée itinérante. collection.

« Étant déjà très impliqué dans la vie étudiante, c’était assez évident et facile pour moi de dire oui », confie-t-il. J’ai mis en place un petit plan pour rester engagé dans la communauté après avoir obtenu mon diplôme, étant donné que c’est maintenant mon dernier semestre.

En plus de faire partie du comité de la cellule jeunesse, il a participé à la création d’une « mini-cellule » dans son université.

« Nous travaillons à créer une mini-cellule, c’est comme une branche de la cellule des jeunes. C’est un projet de la cellule d’avoir une cellule intensive sur différents campus. À Concordia, j’ai pu réunir plusieurs étudiants engagés envers la cause d’Héma-Québec et nous aurons plusieurs kiosques et initiatives sur le campus », explique-t-il.

Il invite les jeunes à s’impliquer, qu’ils aient peu ou beaucoup de temps à consacrer à l’organisme.

«Cela a ajouté un bon sentiment d’accomplissement, j’ai pu établir de belles relations», soutient M. Bergeron. Nous pouvons grandir en tant que personne et en tant que professionnel, car nous établissons de bonnes relations, il y a aussi de belles amitiés qui se nouent et, gros bonus, nous contribuons indirectement à sauver des vies.

«Nous faisons une grande différence dans la société québécoise et cela n’a pas de prix.»

Héma-Québec peut compter sur 3 000 bénévoles qui s’impliquent régulièrement, indique Josée Larivée, porte-parole de l’organisme. Parmi eux, il y a 200 bénévoles qui font partie de l’aile jeunesse.

À ces bénévoles s’ajoutent toutes les personnes qui donnent occasionnellement de leur temps au sein des rangs d’Héma-Québec.

Même si Héma-Québec peut compter sur un recrutement efficace, l’organisme est toujours à la recherche de nouveaux bénévoles, tout comme elle recherche de nouveaux donneurs, alors que certains d’entre eux ne peuvent plus donner de sang après le début de la prise d’un médicament particulier, par exemple.

« On ne peut jamais dire : c’est beau, on en a assez, on va bien. Ce n’est pas qu’on manque de monde, mais c’est un cycle de changement », explique Mme Larivée.

 
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