D’abord par l’originalité de sa création, notamment parce que « ce n’est pas un boléro, plutôt une valse », s’amuse-t-il. Comme le célèbre boléro repose sur le même thème répété inlassablement, Ibrahim Maalouf a choisi d’y faire référence en jouant six fois la même mélodie, dans autant de variations.
Et les musiciens de l’orchestre étaient largement intégrés à chacune des scènes : la première était jouée par Ibrahim Maalouf à la trompette et au pianiste, la seconde par les cuivres et bois de l’orchestre, la troisième par Ibrahim Maalouf et les violons, et ainsi de suite jusqu’au final éblouissant joué par tout le monde. Le son velouté du jeu d’Ibrahim Maalouf, la subtilité de son interprétation se sont joints à la virtuosité de l’orchestre pour toucher le cœur du public.
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