Pascale Bari il entre rapidement en contact avec les chevaux. Celui qui est né le 7 avril 1953 a parcouru un long chemin avant d’entrer dans la maison du coach de crack François Boutincomme il nous l’a annoncé dans l’émission « Le Grand Débrief » : « J’ai toujours aimé les chevaux, ça ne vient pas de ma famille, c’est inné en moi. J’étais cavalier de compétition, j’ai fait quelques compétitions amateurs. Je me rendais le matin à l’entraînement avec William Clout, le père de Tony, et M. Sandor à Maisons-Laffitte : ce furent mes premiers cours avec des pur-sang. A Chantilly j’ai rencontré Jean-Michel de Choubersky qui m’a conseillé de sortir avec Sir Mark Prescott en Angleterre. C’était un personnage formidable et très captivant mais très dur. A mon retour en France, j’ai rejoint François Boutin, qui m’a fait confiance et j’ai essayé de reproduire tôt ce qu’il m’avait appris depuis 4 ans à l’écurie.
Le début de sa carrière d’entraîneur s’est bien déroulé. « J’ai commencé mon exploitation avec un seul cheval : je l’ai acheté par l’intermédiaire de Patrick Barbe avec mes parents. Il a gagné au réclamer et a été réclamé, donc le premier soir, je n’avais plus de chevaux, puis j’ai eu cinq ou six yearlings et dans ce lot, il y avait un futur vainqueur de Groupe 1 : Deep Roots. Evidemment il était fabuleux avec un cheval comme ça, il m’a fait de la publicité et j’adorais les yearlings »a poursuivi l’éditeur.
Pascale Bari a connu plusieurs victoires prestigieuses pour des vestes célèbres, notamment celle de Jean-Louis Bouchard et celui de Famille Niarchos. « Jean-Louis Bouchard était là dès le début. Nous avons commencé avec les prétendants et avons gagné plusieurs courses d’affilée. Mes chevaux ont gagné 6 Jockey Clubs pour l’équipe Bouchard ou Niarchos. J’ai aussi gagné 3 fois de suite » Marcel Boussac, avec trois femmes qui s’entraînaient en même temps : Six Perfections, Denebola et Divine Proportions »a ajouté le professionnel.
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