Garou n’a jamais accepté que les gens autour de lui paient des compliments – et les compliments – quand, par exemple, il sort de la scène et écoute leurs commentaires.
Alors que l’adrénaline pompe et qu’il est conduit à son hôtel, il préfère que son équipe lui dit la vraie affaire.
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C’est aussi ce qu’il a l’intention de faire cette saison en tant que directeur de l’Académie de Académie starComme nous l’avons vu dans le quotidien la semaine dernière. Certains internautes ont mal réagi aux remarques de Garou ou de la Faculté, composée d’émégin, Véronic Dicaire et Pierre Lapointe.
Garou n’est pas surpris que certains adeptes de Académie star Découvrez qu’ils sont parfois durs avec les académiciens.
Photo Agence QMI, Joel Lemay
«Je trouve ça beau, cela signifie que les gens ont déjà adopté les académiciens comme leurs enfants», a-t-il mentionné juste avant la deuxième variété de la saison, dimanche. Notre travail consiste à leur dire la vraie affaire, à les secouer un peu. Lorsque nous leur donnons des compliments, ce n’est pas la sycophance, c’est un vrai bravo », a souligné Garou.
-Il a toujours voulu que ceux qui l’entourent l’emporte, si nécessaire.
“Ce qui m’a le plus énervé quand j’ai commencé, c’est quand les gens m’ont dit:” Ah, tu étais bon ce soir! ” ou «Quel bon spectacle!». Cela m’a mis en colère, parce que je voulais que les gens me disent: “Ce n’était pas génial” et “ouais, celui-là n’était pas si bon” “, a révélé Garou, une méthode rappelant celle de René Angélil avec Celine Dion.
Corne sur l’ego
«C’est un travail difficile, vous devez frapper leur ego. Je veux la vérité, la spontanéité. Nous devons sortir des académiciens des bois. Vous devez savoir comment faire des critiques, vous devez savoir comment vivre avec l’échec, et j’ajouterais que cela est toujours fait avec gentillesse », a ajouté le grand gars.
Garou croit donc, comme la faculté de l’académie, que nous avançons mieux dans cet environnement en n’enterrant pas la tête dans le sable.
Photo Agence QMI, Joel Lemay
«J’aime l’authenticité, je suis là pour ça», a poursuivi le directeur. C’est ce que j’ai dit au début à Jean-Philippe Dion: C’est à vos propres risques si je suis directeur. Au début, je ne me suis pas vu entrer dans ce domaine, puis il m’a dit: «Je veux que, en vérité, je veux que ça bouge un peu les choses». Nous ne nous sommes pas consultés, ce n’est pas une mission que nous nous sommes données, mais nous les quatre, donc moi et le personnel enseignant, sommes sur la même longueur d’onde: nous disons les vraies choses, nous nous parlons vraiment de vraies affaires , nous sommes d’accord, donc tous les quatre nous avons tort (rires). Nous sommes réels!