un geste bon pour le moral et la santé

Les câlins libèrent des hormones de bonheur et de bien-être, c’est pourquoi les experts recommandent de le faire quotidiennement pour se sentir bien.

Le mardi 21 janvier est la Journée internationale des câlins. Un concept inventé par un révérend américain qui remarquait qu’en début d’année tout le monde était un peu déprimé et qui pensait que nous serions tous globalement mieux lotis si nous nous embrassions plus souvent. En 1986, il lance le concept du Hug Day, qui consiste à offrir un câlin dans un lieu public sans compensation à une personne choisie au hasard, mais consentante, bien sûr.

Cette journée mondiale est une manière de rappeler à quel point les câlins sont essentiels au moral, voire à la vie. Saviez-vous, par exemple, que pour se sentir heureux, il faut faire des câlins au moins sept minutes par jour, soit quatre câlins par jour ; les estimations varient selon les experts en câlins ? Saviez-vous aussi que les enfants grandissent et s’améliorent lorsqu’ils voient leurs parents se faire des câlins et que les câlins sont même essentiels à la survie des bébés ?

Les câlins sont également bons pour la santé des adultes, grâce à la libération d’hormones de bonheur et de bien-être comme l’ocytocine, la dopamine, l’endorphine. Toutes ces choses « inconvenantes » qui nous font nous sentir bien, réduisent notre stress et notre hypertension artérielle. Et puis l’avantage, c’est que les câlins ont leur langage universel, celui du corps qui prend le relais quand les mots nous manquent.

Depuis octobre 2024 en Nouvelle-Zélande, un aéroport interdit les câlins de plus de trois minutes pour optimiser le trafic… Même s’il ne faut jamais interrompre un câlin. Parce que nous avons tous besoin de vie pour s’éterniser, de temps pour s’étirer et, comme l’écrivait Romain Gary dans son livre Gros câlin : “La tendresse a des secondes qui battent plus lentement que les autres.“