Le moulin hydroélectrique du Gros Morne abrite une reconstitution du film martiniquais « Rue Case-Nègres »

Richard Exurville, passionné de culture, de patrimoine et de gastronomie, a décidé, avec le soutien du réalisateur Euzhan Palcy, d’implanter un pôle d’attraction autour de la rue Cases nègres.

“Rue Cases nègres », adaptation de l’œuvre de Joseph Zobel, réalisée pour le cinéma par Euzhann Palcy, retrace l’histoire d’un jeune garçon prénommé José, qui grandit dans une plantation de canne à sucre en Martinique, dans l’après-seconde guerre mondiale.

Ce film à succès a permis d’aborder une multiplicité de thématiques comme la famille, l’amitié, la pauvreté, la résilience et l’aspiration à une vie meilleure malgré les conditions de l’époque. Quoi de mieux que de raviver des souvenirs pour faire durer le souvenir.

Richard Exurville parle de la maison de Mona

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©Daniel BETIS

A l’aune de ce film patrimonial, Richard Exurville souhaite permettre à la population de s’immerger dans cet univers et de découvrir la maison de Man Tine et l’univers de José. Euzhann Palcy, consultée pour l’aménagement de la reconstruction sur le site du moulin, sera présent pour une rencontre avec le public.

Richard Exurville, infatigable, nous explique la taille et la vocation de la petite boutique

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©Daniel BETIS

Le moulin hydroélectrique de Martinique et Caraïbes, fondé en 1933 par Henry Marie-Calixte, est un espace doté d’un restaurant qui valorise les produits locaux (manioc, toloman, patate douce, fruit à pain, chou chinois, igname, coco).

L’équipe prend plaisir à proposer chaque jour des plats innovants aux visiteurs. Ils peuvent également participer à des ateliers.

Richard Exurville, qui a acquis le site en 2008, en a fait un centre pédagogique de réinsertion, de traditions et d’innovations. Aujourd’hui, il relève un nouveau défi.

Dans quelle mesure les subventions sont-elles accordées ?

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