Lausanne attribue ses deux bourses de création littéraire et de bande dessinée

Lausanne attribue ses deux bourses de création littéraire et de bande dessinée
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Un tableau du peintre surréaliste belge René Magritte, une version de “L’Empire des Lumières”, a été adjugé pour la somme record de 121,16 millions de dollars (107 millions de francs), lors d’une vente aux enchères à New York mardi soir.

“C’est un record mondial pour une vente aux enchères d’un tableau de René Magritte”, confirmait Charly Herscovici, président de la Fondation Magritte, à Belga juste après la vente.

Cette version de « L’Empire des lumières » de René Magritte était proposée mardi soir au Rockefeller Center, siège new-yorkais de la maison de ventes Christie’s. Cette huile sur toile fait partie d’une série de 18 autres tableaux éponymes présentant une maison et son lampadaire tout en jouant avec l’ombre et la lumière.

La Magritte la plus chère du monde

“C’est le Magritte le plus cher du monde aux enchères, mais d’autres tableaux ont été vendus encore plus cher dans des ventes privées”, a commenté M. Herscovici, jugeant le résultat “superbe”.

L’œuvre a été acquise 105 millions de dollars (93 millions de francs suisses) sous le marteau, mais le prix final est de 121 millions de dollars (107 millions de francs) frais inclus, selon les informations communiquées par Christie’s. Le tableau a été peint par l’artiste belge en 1954 et mesure 146 centimètres sur 114 centimètres.

La vente a largement dépassé les attentes, alors que le tableau était auparavant estimé à environ 95 millions de dollars (84 millions de francs).

L’acheteur est un collectionneur américain, dont l’identité n’a pas été révélée, qui s’est disputé l’œuvre avec un autre acheteur potentiel asiatique, précise encore M. Herscovici.

“Ce tableau mis aux enchères est l’un des plus beaux de la série “L’Empire des Lumières” par sa mise en scène, sa qualité, dans la lumière et dans la nuit”, a décrit Charly Herscovici. C’était le « point culminant du spectacle », selon lui, lors de cette vente de plusieurs autres œuvres de la collection de feu Mica Ertegun, architecte d’intérieur et collectionneur d’art.

Deux autres tableaux du peintre belge ont également été vendus à cette occasion. « La cour d’amour » (1960) a atteint le prix de 10,5 millions de dollars (8,9 millions de francs) et « La Mémoire » (1945) a été vendue 3,68 millions de dollars (3,25 millions de francs).

Il s’agit de prix qui ont été « réduits », selon M. Herscovici, alors que ces ventes restaient dans la fourchette d’estimation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats/afp

 
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