Publié le 12 octobre 2024 à 10h54. / Modifié le 12 octobre 2024 à 12h20
Signe des temps ? La 132e Revue de Genève, qui a levé le rideau jeudi, fait rire sur les sujets de société, les nouveaux codes de séduction par exemple, moins sur la politique. Les édiles genevois sont également tragiquement absents de cette édition, à trois exceptions près: le très révérencieux Thierry Apothéloz, la très bonne amie Frédérique Perler, le très suffisant Antonio Hodgers. Dans le décor violet du Casino-Théâtre, ils en sont réduits à jouer les comparses. Claude-Inga Barbey et Laurent Deshusses, qui supervisent l’écriture et la mise en scène du spectacle – avec Pierric Tenthorey – en ont décidé ainsi. Le résultat leur donne raison : il y a des petites coupures de courant, surtout dans la première partie, mais leur spectacle est génial.
Lire : La revue de La Revue en 2023
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