Au-delà des débats autour du chaudron et des anneaux, la capitale et ses monuments ont gagné en visibilité.
Des cérémonies magnifiées par des danseurs, des chanteurs et des DJ, un patrimoine mis en valeur comme jamais auparavant – devant des milliards de téléspectateurs -, des images iconiques et le sentiment d’avoir ” réussi “ pour prouver que la France était encore dans la course : l'héritage des Jeux de Paris 2024 ne sera pas que sportif.
« Rome, ville hôte des Jeux en 1960, avait déjà organisé une partie des épreuves dans son centre-ville, en utilisant notamment l’Arc de Constantin et les Thermes de Caracalla »ont rappelé les historiens du sport Sandrine Lemaire et Stéphane Mourlane, lors d'une conférence sur l'héritage des Jeux, organisée à l'American Business School de Paris, vendredi soir. « Mais la couverture médiatique était hors du commun à l’époque, et les cérémonies n’étaient pas des spectacles en soi. »
A lire aussiThierry Reboul (organisateur des cérémonies des JO 2024) : « Je me suis attaché à créer des images fortes comme marqueurs »
Changement de paradigme
En 2024, ont-ils insisté, le monde aura été témoin d’un changement de paradigme. Si jusqu’alors les Jeux participaient à la transformation…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 82% à découvrir.
Vente Flash
1,99€ par mois pendant 6 mois. Sans engagement.
Déjà abonné ? Connectez-vous
