Le Tour de France reviendra en Normandie en 2025. Avec un Grand Départ donné depuis Lille et le Nord de la France, la probabilité de revoir le peloton de la Grande Boucle était forte. Et comme le mentionne Ouest de la France Depuis quelques jours, les coureurs de la plus grande course cycliste du monde traverseront la Région début juillet.
Si les détails du parcours ne seront dévoilés que le 29 octobre par les organisateurs, les grandes lignes du passage vers la Normandie se dessinent. Mardi 8 juillet, la 4e étape s’élancera d’Amiens et devrait arriver à Rouen, en Seine-Maritime, comme l’indique La voix du Nord . Le lendemain, selon nos informations, Caen accueillera un contre-la-montre.
Au lendemain du contre-la-montre, le jeudi 10 juillet, le départ pourrait également être donné depuis le Calvados. Candidate, la ville de Bayeux semble tenir la corde. Ensuite les coureurs devraient se diriger vers la Bretagne. Mais sans passer par l’Orne. En effet, le peloton devrait descendre le long de la Manche et de l’Ille-et-Vilaine où pourra être jugé l’arrivée de la 6ème étape.
La candidature d’Alençon une nouvelle fois rejetée
Alençon, déjà candidate pour accueillir l’arrivée ou le départ d’une étape en 2015, 2016 et 2021, a officiellement renouvelé sa volonté d’accueillir la Grande Boucle ces dernières années. A priori sans succès, une nouvelle fois, en 2025. « Nous n’avons pas été contactés. Tant que nous n’avons pas le plan définitif, nous ne pouvons pas y renoncer, glisse Vanessa Bournel, adjointe sportive. Mais les espoirs s’amenuisent. » Après avoir quitté la Bretagne, le Tour devrait se diriger plus au sud en passant par Laval. Il faudra donc attendre encore un peu pour la cité des Ducs, qui n’a plus accueilli d’arrivée d’étape depuis 2002 (Forges-les-Eaux – Alençon).
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Parmi les autres communes de l’Ornais, Argentan, où le Tour est passé en 2015 sans s’arrêter, n’a pas postulé et n’a pas non plus été recensé pour être traversé. Idem à Flers, au nord-ouest du territoire.
Pour rappel, il faut remonter à 2018 pour voir le peloton s’élancer sur les routes ornaises. A l’époque, les coureurs partaient de Fougères, en Ille-et-Vilaine, pour se rendre à Chartres, en Eure-et-Loir. Les villes d’Alençon et de Bellême avaient notamment été traversées.
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