Depuis la publication de ce décret le 27 novembre, il est rappelé aux cyclistes et autres utilisateurs d’EDPM (engins de transport personnels motorisés), à savoir les trottinettes électriques, les monoroues, les trottinettes auto-équilibrées et les hoverboards, qu’ils doivent l’obligation d’être équipé d’un éclairage en cas de visibilité réduite. A défaut, ils s’exposent à une amende de 11 euros.
Certains utilisateurs auront tendance à opter pour un feu arrière clignotant. La loi l’interdit désormais en précisant : « tout véhicule motorisé de transport personnel ou cycle doit être équipé d’un feu de position arrière. Ce feu ne doit pas clignoter et doit être clairement visible de l’arrière« . Cet éclairage à l’arrière ne peut être que rouge.
Une seconde lumière sur soi
Cependant, aucune précision concernant l’aspect clignotant n’est donnée concernant le feu avant. Il suffit qu’il émette lumière non éblouissante, jaune ou blanche.
La loi donne également la possibilité de transporter éclairage supplémentairecomme un gilet lumineux ou une lampe attachée au casque ou au sac à dos.
Le texte parle aussi pneus avec dispositifs rétroréfléchissants qui peut remplacer les réflecteurs présents dans les roues du vélo.