L’Aventurine soutient juridiquement le personnel soignant et soutient les patients ayant subi des effets indésirables après leur vaccination.
C’était il y a quelque temps. Les soignants non à jour de leur calendrier vaccinal en période Covid se sont vu interdire de travailler, et une manifestation avait lieu.
L’association Aventurine, créée à l’époque, compte environ 200 adhérents et se concentre sur l’accompagnement du personnel, tout en proposant une aide aux victimes d’effets indésirables.
« Mise en perspective » éclairée
« Aventurine se veut un espace de défense des libertés individuelles et de mise en perspective du droit libre et éclairé. Nous espérons qu’un débat honnête pourra avoir lieu dans notre pays sur les effets néfastes de la gestion de la crise sanitaire et de la vaccination obligatoire, comme la Grande-Bretagne ou l’Allemagne actuellement”, indique Samuel Bourgeois, vice-président d’une structure récemment présidée par Tiffany Renault. .
Pour les semaines à venir, les orientations de l’association ont été définies en trois volets : « D’abord, l’accompagnement du personnel dans ses recours juridiques, en étroite collaboration avec le syndicat Liberté santé ; d’autre part, encourager et soutenir toute personne qui le souhaite dans la déclaration des effets indésirables consécutifs à la vaccination contre le Covid ; troisièmement, mettre l’accent sur les événements de type conférence
», ajoute Samuel Bourgeois.
Conférence aujourd’hui « avec nos amis de l’antenne d’Orléans, en présence de Pierre Chaillot, à Ormes ».
Pratique.Contribution : 10 euros par personne.
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