Jeux Olympiques de Paris 2024. Laure Manaudou, première relayeuse française

Jeux Olympiques de Paris 2024. Laure Manaudou, première relayeuse française
Descriptive text here

La flamme olympique sera allumée ce mardi 16 mars à Olympie, dans le sud de la Grèce. Le comité olympique a annoncé ce lundi 15 avril le nom du premier relayeur français. Il s’agira de Laure Manoudou, la nageuse championne olympique du 400 m nage libre à Athènes en 2004.

Belles histoires du dimanche

Découvrez des histoires inspirantes de solidarité et d’altruisme et partez à la rencontre de la générosité. Emotions garanties tous les dimanches !

France Télévisions utilise votre adresse e-mail pour vous envoyer la newsletter « Les belles histoires du dimanche ». Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien présent en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

Laure Manaudou, originaire de l’Ain, reprendra la flamme olympique du champion grec d’aviron Stefanos Ntouskos, a indiqué le Comité olympique grec ce lundi 15 avril. Après l’allumage, c’est cette dernière qui aura la flamme en main, juste avant de la transmettre à Laure Manaudou, avant de repartir pour un voyage de plus de 5 000 km à travers Gèce pendant 11 jours avant d’être transmis aux organisateurs le 26 avril à Athènes. Elle embarquera ensuite à bord du Belem pour arriver à Marseille le 8 mai.

Laure Manaudou, qui a fait ses armes à Ambérieux-en-Bugey, dans l’Ain, sera la deuxième relayeuse, derrière le Grec Stefanos Ntoúskos, champion olympique d’aviron en 2021 à Tokyo. La nageuse française Laure Manaudou, qui a remporté son premier titre olympique, sur 400 m nage libre, aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004, lui succédera et sera ainsi la première relayeuse française, a annoncé lundi le comité olympique grec.

Le protocole d’allumage de la flamme

A Olympia, le système d’allumage de la flamme implique l’utilisation du soleil et un miroir cylindrique parabolique, procédé déjà connu des Grecs anciens : les rayons du soleil qui se reflètent dans le récipient dégagent une chaleur intense permettant d’obtenir une flamme. La météo annonce un ciel nuageux dans cette région mardi partie occidentale de la péninsule du Péloponnèse (sud-ouest), mais même en cas de ciel changeant ou, pire, de pluie, tout est prévu pour qu’un incendie se déclare. La « grande prêtresse », l’actrice grecque Mary Mina, pourra alors brandir le flambeau qui sera ensuite emmené par le premier relayeur, Stefanos Ntouskos, champion olympique d’aviron aux JO de Tokyo. La deuxième relayeuse est donc Laure Manaudou.

La flamme entamera ensuite un voyage de 5 000 km à travers la Grèce pendant 11 jours, de l’île de Corfou, dans la mer Ionienne, à celle de Santorin dans les Cyclades, avec son célèbre décor de carte postale, en passant par Kastellorizo, au sud-est du pays. Elle gravira également le rocher de l’Acropole pour passer une nuit près du Parthénon. Puis la flamme sera transmise aux organisateurs français le 26 avril au stade Panathénaïques d’Athènes, lieu où se sont déroulés les premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne en 1896. Au Pirée, le grand port au sud d’Athènes, la flamme embarquera ensuite du trois-mâts Belem à débarquer le 8 mai à Marseille, dans le sud-est de la France.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT Vaccin anti-Covid-19 – Victime de blessures à répétition, un joueur de Laval en « errance médicale » assigne Pfizer en justice