Le président a assuré qu’il ne le ferait pas « vouloir se victimiser », ni croire qu’un complot encerclait l’OM : « Ce que je demande, c’est plus de cohérence, envers tout le monde. Et dans notre cas particulier, nous nous sentons particulièrement visés. Je ne sais pas si c’est à cause de nos déclarations de début de saison, ou parce que nous avons une position de force, parce que nous sommes une équipe qui cherche à mettre la pression à très haut niveau. […] La façon dont je me sens traité ici par les arbitres est totalement différente de la façon dont je me suis senti traité en Espagne ou en Italie. […] Mais ici il n’y a pas de dialogue, on ne se met pas à la place de l’autre, c’est toujours une situation où l’arbitre exerce son autorité de manière véhémente, très autoritaire, et ne recherche pas le dialogue avec les joueurs, les managers. »
