Après douze semaines de diffusion, qui ont réuni pas moins de 4 millions de téléspectateurs en moyenne chaque samedi, les fans du Académie des étoiles on approche de la grande finale ! Ce samedi 4 décembre, on connaîtra (enfin) les noms du quatuor final. Et pour Karima Charni, c’est aussi la fin de trois mois très intenses ! Tournage du quotidien, préparation du prime, sortie des étudiants dans le bus, retour au château… le co-animateur de Nikos Aliagas a réalisé une saison remarquable. Elle essaie également d’appliquer à la lettre les conseils de son partenaire, qui la conseille au téléphone après chaque bonus : “Nikos est comme un oncle pour sa nièce”, nous a-t-elle confié. Et Karima fait de même avec ses poulains ! Chaque semaine, elle accompagne les élèves avec tendresse et bienveillance sur le chemin du retour au château. Au micro du podcast Le(s) clic(s), elle nous a également livré les mots touchants échangés avec un candidat de cette douzième saison.
Karima Charni bouleversée par l’aveu d’un candidat : “C’était la première fois qu’on me disait ça”
À ses débuts, dans les années 2000, Karima Charni souffrait parfois de ne pas avoir de modèle qui lui ressemblait à la télévision : «Je fais partie d’une minorité visible, je suis maghrébine et j’en suis très fière mais je n’avais personne à qui me comparer. Aujourd’hui, j’adorerais qu’il y ait des enfants qui me regardaient et me disaient : on peut devenir Karima”, nous a-t-elle confié. Vingt ans plus tard, celle qui pensait parfois que sa carrière touchait à sa fin, se rassure de voir les choses changer. Et cela n’a pas échappé à l’une des candidates de la saison en cours… Elle nous explique : « Vous savez, c’est arrivé dans le bus il n’y a pas très longtemps… Il y avait un candidat qui m’a dit : ‘Moi, J’adorerais être comme Karima un jour. Et vraiment, ça m’a beaucoup ému parce que c’était la première fois que je suis devenu un exemple à suivre.
Karima Charni (Star Academy) raconte sa conversation avec…
Ni une, ni deux, nous avons évidemment demandé à Karima Charni l’identité de cette candidate, qui a répondu : “Je ne dirai pas son nom parce que nous sommes en plein milieu d’un spectacle, donc je ne veux pas que quiconque pense que j’encourage un élève plus qu’un autre !” a-t-elle confié, ajoutant qu’elle était une candidate toujours en lice [en date du 12 décembre, soit Maïa, Marguerite, Marine ou Ebony, NDLR]. De cette conversation dans le bus, une véritable prise de conscience est venue pour Karima Charni : « Cela m’a énormément touché car pour la première fois, j’ai compris que dans les responsabilités que j’avais, dans les chambres d’adolescents, dans les maisons, il y a peut-être des petites filles qui se disent : hé, on a un point de comparaison ! Et même quand on s’appelle Karima, on peut réussir.