By Fanélie Cointot
Publié
21 décembre à 11h57,
mis à jour 21 décembre à 11h57
Mercredi 18 décembre, on a appris la condamnation définitive de Nicolas Sarkozy à un an de prison. Ce samedi 21 décembre, sa fille Giulia, qu’il a eu avec Carla Bruni, a clairement exprimé ce qu’elle en pensait sur son compte Instagram.
Un an de prison pour trafic d’influence et corruption : la condamnation définitive de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, fera date. Alors que l’ancien chef de l’Etat connaîtra bientôt les modalités d’application de sa peine, il a dû faire face à des commentaires sarcastiques, tout en recevant de nombreux messages de soutien, pour le moins inattendus. Ce samedi 21 décembre, sa fille Giulia, 13 ans, s’est exprimée sur son compte Instagram pour s’exprimer sur l’affaire. En story, la très jeune fille a réédité le message de son père, dans lequel l’homme politique annonçait avoir déposé un recours devant la CEDH (Cour européenne des droits de l’homme), ainsi qu’une publication de son demi-frère Jean, où l’on découvre le jeune homme de 38 ans enfant, blotti contre son père….
Commentant cette photo, qui met en lumière la complicité entre père et fils, Jean Sarkozy a ajouté un message évocateur : “Ce que je vois”. Une manière d’afficher la solidarité familiale aux yeux du monde entier… La mère de Giulia, Carla Bruni, a également réagi à la nouvelle, en republiant le communiqué dans lequel Nicolas Sarkozy clame son innocence. En 2021, celle qui a épousé l’ancien chef de l’Etat il y a plus de 16 ans avait déjà exprimé son soutien inconditionnel en écrivant : “Le combat continue, la vérité éclatera.” Cependant, quel que soit le verdict de la Cour européenne des droits de l’homme concernant le recours de Nicolas Sarkozy, ses ennuis judiciaires ne seront pas forcément terminés.
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Nicolas Sarkozy condamné : cette autre épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête
En effet, à partir du 6 janvier 2025, Nicolas Sarkozy fera face à de nouvelles accusations. Ce procès, qui concerne des soupçons de financement libyen dans le cadre de la campagne présidentielle de 2007 de l’ancien chef de l’Etat, se tiendra devant le tribunal correctionnel de Paris, et devrait durer jusqu’au 10 avril. Le père de la petite Giulia devra répondre de quatre chefs d’accusation, ce qui pourrait lui valoir une lourde peine s’il est reconnu coupable : « recel de détournement de fonds publics », « corruption passive », « Financement illégal des campagnes électorales » et « association de malfaiteurs ». Une période décidément difficile pour l’ancien Président de la République, qui pourrait aussi perdre une prestigieuse distinction en raison de sa condamnation…
Article rédigé avec la collaboration de 6Médias