sur une île dévastée, une distribution urgente d’eau et de nourriture commence

sur une île dévastée, une distribution urgente d’eau et de nourriture commence
sur une île dévastée, une distribution urgente d’eau et de nourriture commence

« Nous devons changer notre législation »» a plaidé le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, mercredi matin sur BFM- et RMC au sujet du flux migratoire à Mayotte. Selon l’ancien président du groupe Les Républicains au Sénat, « nous avons laissé les Mahorais seuls face à leur malheur »au sujet de l’immigration irrégulière provenant principalement des Comores voisines. Pour M. Retailleau, le bilan humain attendu sera particulièrement lourd “là où il y avait des bangas, des bidonvilles”où ils auraient été, selon lui, « 100 000 clandestins en situation irrégulière ».

« Les Mahorais ne sont pas racistes, mais croyez-moi, tous les élus ont le même langage. Ils souhaitent le retour d’une situation stable. Ce sont eux qui demandent une modification de la loi.»il s’est défendu. « Un enfant naît par heure à la maternité de Mamoudzou, la plus grande de . Soixante-quatorze pour cent de ces bébés ont une mère illégale. »a-t-il expliqué en dénonçant les droits du sol. Il s’en est particulièrement pris aux dirigeants des Comores.

« On sait très bien qu’il y a une politique comorienne qui consiste finalement à laisser (…). Il y a une forme, le mot est sans doute trop fort, de guerre hybride si j’ose dire, en poussant les populations vers Mayotte pour créer une sorte d’occupation clandestine. »dit-il. « C’est comme si en France nous avions environ 20 millions de clandestins. Une société peut-elle vivre en harmonie civile avec un tel déséquilibre démographique ? »» a-t-il alors demandé.

 
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