Le message de Jonathan Bouchet-Petersen
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Pour le leader insoumis, on ne peut imaginer une candidature unique de la gauche à la prochaine présidentielle que derrière lui dès le premier tour. Le leader des écologistes et candidat à Matignon du Nouveau Front populaire préfère faire les choses dans l’ordre.
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Pour Jean-Luc Mélenchon, on ne le découvre pas, le syndicat ne peut exister qu’en ligne derrière lui, autour du programme de La France insoumise. Et c’est à prendre ou à laisser. Il est certainement celui qui a le plus d’expérience des élections présidentielles, avec trois défaites à son actif et une troisième place à 22% lors de la dernière édition, et son parti est probablement celui qui a le plus travaillé sur le fond au cours de la dernière décennie. . . Mais il faudrait être aveugle ou très naïf pour imaginer que toutes les forces de gauche s’alignent naturellement derrière lui dès le premier tour de la prochaine présidentielle, qu’elle ait lieu tôt ou comme prévu en 2027. « Nous sommes favorables à une candidature commune. Nous nous l’avons dit dix fois, en fonction du programme. Et au fur et à mesure que nous avançons dans le programme, eh bien, quiconque veut vient, il est le bienvenu. a-t-il déclaré vendredi lors d’un discours devant des militants à Paris, évoquant un « offre fédérale ».
Appel à une « candidature commune » de la gauche
De l’union qu’il réclame pour espérer enfin se qualifier au second tour, Mé
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