Jérôme Anthony, qu’est-ce qui vous amène au théâtre ?
« J’ai été convaincu par un producteur et un réalisateur, par un groupe d’acteurs que je connaissais bien. J’avoue qu’on me proposait des projets depuis longtemps et que j’avais peur de me lancer. Là, j’ai été rassuré et je me suis lancé dans ce morceau que j’ai trouvé drôle. L’idée de partir en tournée en province, de ne pas jouer exclusivement à Paris m’a séduit. Tous les feux étaient au vert. »
Animateur et comédien, ces métiers sont-ils complémentaires ou totalement différents ?
«Je suis animateur depuis longtemps. Je me produis sur scène avec des concerts depuis plusieurs années. Donc la scène, l’animation, le théâtre, tout cela est très complémentaire. Nous nous retrouvons à faire le même exercice. Tout est agréable. Je n’avais pas beaucoup d’appréhension, sauf pour ma mémoire. Après, on joue comme des enfants. Nous n’allons pas nous mentir. Nous ne nous prenons pas au sérieux. C’est une pièce de boulevard assez légère comme on les connaît bien. Nous ne sommes pas sur un classique. C’est drôle à toutes les lignes. Il y a des portes qui claquent. C’est un contexte qui nous est familier. »
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Vittel sera-t-il votre premier rendez-vous en Lorraine et votre tournée passera-t-elle par Paris ?
« Non, nous avons déjà joué à Lunéville. En Lorraine, nous avons Vittel et un peu plus tard Pont-à-Mousson. Quant à Paris, je ne pense pas. Ce n’était pas l’objectif et ce n’est certainement pas mon souhait, car quand on joue à Paris, on y est tous les week-end et je n’en ai pas spécialement envie. J’aime aller en province et rencontrer le public qui nous regarde à la télévision. Je le fais depuis quelques années pour des spectacles Tout le monde en cuisine avec Cyril Lignac et pour mes concerts. C’est cohérent avec ce que je fais ailleurs. »
Un avenir radieux dimanche 1est Décembre, 16h, espace Alhambra à Vittel. Réservations dans les points de vente habituels.
