Récemment, Daniel Riolo, interviewé dans Le Figaro la nuit, parlé de la messages haineux qu’il a reçus sur les réseaux sociaux. En effet, les journalistes sportifs se retrouvent parfois confrontés à des insultes, voire à des menaces. « On a l’impression que les choses restent figées et vous dites aux gens : ‘Vous avez vraiment tout entendu ?’ Tu sais que le lendemain j’en ai encore reparlé ‘non, on a l’impression qu’il y a un moment qui s’arrête et on ne veut plus t’écouter’confides Géraldine Maillet’s companion.
Et le journaliste a du mal à comprendre pourquoi certaines personnes réagissent de cette façon ? : « Et tout ce que vous allez dire, tout ce que vous voulez corriger, c’est non. On a l’impression que vous transportez cette cicatrice et que des gens vont sans cesse venir y mettre le couteau. C’est violent.
Géraldine Maillet se confie sur l’aide apportée par son compagnon Daniel Riolo
Près de lui, Géraldine Maillet, elle aussi victime de messages violents, confie : «Daniel est mon coach sur les réseaux sociaux, il m’a appris à avoir beaucoup de détachement, je ne les regarde pas du tout”explique-t-elle, avec beaucoup de modestie mais aussi de tristesse.
« X, c’est fini pour moi. C’est une sorte de caniveau de pensée, c’est la violence à l’état pur, à l’état sauvage.
C’est trop dur, trop d’insultes, d’insultesmenaces de mort… Je ne regarde plus. Ce n’est pas la vraie vie, je n’ai jamais vu personne la rue m’a craché dessus en disant ‘je vais te tuer’ ».
Le chroniqueur victime d’insultes
Et face aux insultes, Daniel Riolo parvient à garder son calme :
“Il est incroyablement fort comparé à ça, il n’y a rien qui l’ébranle en matière de réseaux sociaux”» déclare le chroniqueur de TPMP.
“Cela m’aide beaucoup de comprendre que ce n’est pas la vraie vie.”
L’ami de Cyril Hanouna insiste sur le côté « injuste » de cette situation. « Je comprends ce que dit Daniel parce que quand il élabore un propos, il y a des arguments, une thèse, et sur les réseaux sociaux ce sont des bribes de pensées, des raccourcis. Alors évidemment vous êtes affecté à un camp ou à un autre, (…) il n’y a pas de nuance ».