Animateur des émissions télé de l’après-midi, Affaire conclut est une machine parfaitement réglée. Nos confrères de Ouest-France ont étudié le programme dédié aux objets, en s’intéressant notamment au contenu des dossiers de Julia Vignali.
Sophie Davant ou Julia Vignali, quelle que soit l’animatrice, Affaire conclue un carton tous les après-midi sur France 2. Depuis la rentrée de septembre 2024, avec le deuxième aux commandes, l’émission dédiée aux enchères d’objets s’est même placée comme leader sur sa tranche horaire avec 1,6 million de téléspectateurs en moyenne. Un succès qui ne se dément pas et auquel les acheteurs du programme ne sont pas étrangers, jamais les derniers à s’emparer des pépites des collectionneurs.
Julia Vignali, une débutante devenue experte en objets
En acceptant de succéder à Sophie Davant, Julia Vignali avait volontiers concédé repartir de zéro en termes de bibelots. Mais l’ancien présentateur de Télématin se laisse entraîner dans le jeu par les histoires intimes qui se cachent derrière les objets en question. « En toute honnêteté, Je ne savais pas si le sujet m’intéressait avant de le faire. J’étais particulièrement intéressé par l’idée de reprendre une émission qui cartonne et pourquoi pas de faire partie des personnalités qui prêchent par l’exemple l’après-midi sur France Télévisions.elle a admis dans une interview accordée à franceinfoen février 2024. Aidée par ses complices, et notamment Harold Hessel, elle sait désormais s’y prendre en matière d’estimations.
Affaire conclue en coulisses : qu’y avait-il dans les dossiers de Julia Vignali pendant le tournage ?
Dès qu’elle en a l’occasion, la chef de gang se réfugie dans sa loge pour connaître le profil du prochain vendeur. Nos collègues de Ouest de la France rapporte en effet que Julia Vignali fouille dans ses dossiers, « un peu mais pas trop »dans lequel la région d’origine, la profession, « les événements les plus marquants » de la vie de son candidat, mais aussi des sujets sur lesquels il ne souhaite pas particulièrement s’exprimer. “On me donne des informations sur sa région d’origine, sa profession, les spécialités locales, les événements un peu marquants de sa vie, ainsi que les sujets dont il ne veut absolument pas aborder. La deuxième partie de la fiche concerne l’objet, mais je ne le regarde pas. Je préfère être au même niveau d’information que le candidat», a confié l’animateur dans les colonnes du quotidien.
Résumé : la deuxième partie de son carton concerne l’objet dont il souhaite se débarrasser, l’animateur préfère lever les yeux au ciel pour être surpris au moment « T ». Une routine qui lui porte chance et qui convient parfaitement à ses adeptes de l’après-midi.