Sandrine Bonnaire talks about her childhood

Par Louise Martin | Éditeur

Koh Lanta, Les Marseillais mais aussi Mariés aux premiers regards… Louise Martin est une télévore qui tente, à ses heures perdues, de refaire les gâteaux qu’elle admire devant le Meilleur Pâtissier… mais elle ne risque pas de remporter le tablier bleu ! Les réseaux sociaux n’ont plus de secrets pour elle, les derniers scoops, les dernières émissions, elle les connaît tous. Elle scrute la vie de vos stars préférées et admire un peu trop les tenues de Nicky Doll dans Drag Race . Petit plaisir du cou

Figure incontournable du 7e art français, Sandrine Bonnaire s’est longuement confiée sur son enfance plus que précaire dans « Un dimanche à la campagne », le 10 novembre 2024. Si l’on en croit ses poignantes confidences.

Actrice populaire, Sandrine Bonnaire a raconté en détail son enfance particulièrement difficile dans “Un dimanche à la campagne”. Selon ses propos, son quotidien ressemblait à celui des « gitans »… © France 2, Un dimanche à la campagne

Sandrine Bonnaire semble avoir vécu mille vies. Le 10 novembre 2024, les téléspectateurs du 2 ont pu la retrouver dans Un dimanche à la campagnespectacle piloté par Frédéric Lopez. L’animateur a également reçu au Moulin des Dames, niché en Seine-et-Marne, Emmanuel Moire et le chef pâtissier Christophe Michalak.

Installée à leurs côtés dans les combles de la somptueuse propriété, la maman de Jeanne et Adèle a évoqué son enfance marquée par des conditions de vie difficiles, qui l’ont énormément façonnée. « Je suis né dans l’Allier. J’y ai grandi jusqu’à l’âge de 7 ans puis je suis arrivé en banlieue parisienne où mon père et mon oncle avaient construit un chalet. Nous étions sans eau et sans électricité», a souligné Sandrine Bonnaire qui a grandi aux côtés de ses dix frères et sœurs. “On a vécu là-bas, je dirais deux ans« .

Sandrine Bonnaire “washed once a week”

Selon ses touchantes confidences, leur quotidien était semblable à celui de «gitan« . « Nous ne nous lavions qu’une fois par semaine. Ma mère nous lavait dans une baignoire. Nous étions quatre, cinq dans cette baignoire», a ajouté l’artiste de 57 ans qui a toujours refusé de «être Cendrillon« . “On ne l’a pas très bien vécu, c’était un peu honteux», a-t-elle ajouté.

Durant sa jeunesse, il ne lui a pas été facile d’accepter leur situation précaire, qui n’a pas échappé à ses camarades de classe ni à leurs voisins. Une période délicate certes, mais qui lui a permis de profiter d’un certain “liberté« .

La lampe au plafond, pour moi c’était le chic absolu

« En même temps, nous restons dignes. Mes parents ont été très courageux (…)», a ajouté Sandrine Bonnaire, avec philosophie et sagesse. “Peut-être ma non-docilité, en tout cas l’audace que j’ai eu dans la vie plus tard, ou peut-être que j’ai eu à l’époque, peut-être que ça vient de ça», a-t-elle poursuivi. Bien plus tard et pour son plus grand bonheur, l’intéressé a emménagé dans un appartement à Grigny, équipé d’eau courante et d’électricité. “La lampe au plafond, pour moi c’était le chic absolu», s’est souvenue la compagne d’Erik Truffaz, la tête pleine de souvenirs.

 
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