« J’ai 35 nœuds de vent, c’est un peu la guerre à bord, confiait Jérémie Beyou (Charal, 5e, 52 milles). C’est assez compliqué de naviguer près des côtes, il faut aller au large pour prendre du vent mais il y a des rafales à 35, 40 nœuds. » Même ambiance à bord du monocoque Hublot d’Alan Roura. « J’ai fait une figure de style au lever du jour, le bateau s’est écrasé et n’était plus contrôlable, » déclare le Suisse (15e). Je l’ai récupéré et maintenant tout fonctionne. C’est assez intense, je n’arrive pas à beaucoup dormir. Ce soir ça devrait être mieux. »
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