DÉCRYPTION – Regrouper un pool de partenaires est l’autre activité principale des skippers. La course qui démarre dimanche est une synthèse du tissu économique.
Ce sont 40 bateaux – et 40 skippers – qui s’élanceront dimanche des Sables-d’Olonne (Vendée). Le tout animé par une seule obsession : terminer, à la meilleure place, cette nouvelle édition du Vendée Globe, « l’Everest des mers », comme certains aiment l’appeler, ce tour du monde en solitaire, sans escale, sans assistance et sans assistance. . avec les mêmes formats de monocoques pour tous les concurrents. « Une course mythique, bien plus qu’une compétition, pendant près de trois mois, une aventure humaine, un défi pour les héros »résume Magali Tézenas du Montcel, la directrice générale de Sporsora, une association qui regroupe les principaux acteurs de l’écosystème sportif.
Une quarantaine de bateaux et de nombreuses entreprises à leurs côtés, car les marins, pour la plupart à la tête d’une équipe de course employant plusieurs personnes, ont besoin de sponsors pour les accompagner au quotidien. La construction d’un monocoque – entre 4 et 8 millions d’euros…
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