SOMMER 7. Désespéré sur Oristanio, il remporte le duel. Il n’est pas le seul.
PAVARD 6. Il reprend ses marques à temps pour s’assurer que le carton jaune n’est pas un extra.
DE VRIJ 6. Lorsque Venezia accélère le rythme en seconde période, il perd un peu sa position. Implacable au corps à corps.
BASTONI 6. Souvent en contraste avec Oristanio, avec une certaine souffrance.
DUMFRIES 6,5. Joies et peines. Il envoie Mkhitaryan au but, mais aussi Oristanio (laissant le terrain à Idzes). En attaque, il est un facteur.
CIVIÈRE 6. Le moteur démarre par à-coups, mais il est toujours difficile de s’en passer.
ZIELINSKI 6. Élégant dans le dribble. Il y a du travail à faire sur la phase défensive.
MKHITARYAN 6,5. Actif, présent. Il tire plus que les attaquants, même si pas toujours bien.
DIMARCO 7. La première passe décisive sur la feuille de match reste étranglée dans la gorge, la deuxième est impeccable et il en produit une troisième que Thuram rate.
THURAM 5,5. Les défenseurs souffrent de son physique, il manque dans les derniers mètres, ratant le 2-0.
MARTINEZ 6,5. Soirée compliquée, il commet des erreurs dans ses conclusions et des choix faciles. Il met le bon ballon.
Entraîneur INZAGHI 6. Il se sauve d’un match nul moqueur dans un match que l’Inter joue loin d’être bien.
Bisseck 5. Le refus du but contre Venezia n’enlève rien au manque de conviction avec lequel il aborde le choc avec Sverko.
Calhanoglu 6. Stankovic lui enlève la joie de marquer à son retour.
Taremi 6. Travail sale et fin selon les besoins.
Darmian et Frattesi sv.
Note de l’équipe 6.
MT