L’USAP s’est imposé avec le bonus offensif face au RC Vannes ce samedi après-midi à Aimé-Giral (32-13). Les premières réactions, chaudes.
Guillaume Vilaceca, coach tactile de l’USAP :
« Ça fait du bien d’avoir cinq points. C’est important pour la suite et ce début de championnat qui est difficile. Il faut se souvenir du caractère des joueurs. Notamment sur cette dernière action avant la mi-temps. Tant qu’il y a 15 joueurs sur le terrain, il y a une équipe, on a un groupe homogène et ça laisse de la place aux jeunes, comme Max (Granell). pointez vers le Racing. On est toujours à la bonne place en Top 14. Malgré le nombre de blessés, on arrive à avoir cette profondeur d’effectif.
Adrien Warion, deuxième ligne de l’USAP :
« Ça fait du bien d’être récompensé à la maison. Les points que l’on perd à l’extérieur sont bons à regagner à domicile. Nous avons fait ce qu’il fallait, c’était bien géré. Notre solidarité défensive, c’est essentiel dans ce championnat. Nos tentatives refusées ? C’est frustrant de ne pas être récompensé alors qu’on est avant-dernier, on sent un peu la pression. Nous”.
Jean-Noël Spitzer, manager of Vannes:
« Ce n’est pas une déception. Nous avons été mis sous pression par une très bonne équipe perpignanaise. Il aurait fallu jouer un autre match pour espérer quelque chose. Nous avons manqué de précision et de connexion… Moi non. Nous ne nous sentions pas en mesure de faire basculer le match en notre faveur. Nous avons été dominés en conquête directe. La pression de l’USAP sur le terrain nous a empêché d’avoir des ballons propres. Je n’avais pas de solution aujourd’hui. Quand je vois l’infirmerie de l’USAP et la qualité de sa composition aujourd’hui, cela montre quelle est la densité d’un effectif de Top 14. En tout cas, c’est génial de jouer ici. C’est un stade où il y a de la ferveur et de la couleur. On sent un club qui vit sur son territoire.
Karl Chateau, troisième ligne de l’USAP :
« Nous n’avons pas été très efficaces en fin de première période. Nous étions opposés à notre point fort. Ils nous ont posé des problèmes dans les rangs et sur le terrain. Par rapport au bruit qu’il y avait dans le stade, nous étions perturbés sur nos lancers. Cela nous a mis en difficulté. Ils étaient supérieurs à nous. Personnellement, c’était très spécial pour moi. « L’USAP attire toujours autant de monde et c’est toujours la norme de ce département. »