By Ségolène Forgar
Publié
il y a 6 heures,
mis à jour il y a 5 heures
La visite du Roi et de la Reine des Belges en France
Voir les 5 photos
Le roi des Belges et son épouse ont entamé lundi 14 octobre une visite d’État de trois jours en France. Et ont été reçus à l’Elysée.
Ils ont débuté leur visite d’État par une cérémonie de bienvenue à l’Arc de Triomphe à Paris en présence bien sûr du président Emmanuel Macron et de son épouse Brigitte. Le roi des Belges Philippe et la reine Mathilde, arrivés ce lundi 14 octobre en train de Bruxelles à la Gare du Nord, ont d’abord échangé quelques mots avec le couple présidentiel. Le souverain et le chef de l’Etat français ont ensuite procédé à une revue des troupes avant le traditionnel dépôt de gerbes – une seule, aux couleurs des deux pays – devant la tombe du Soldat inconnu.
Le roi et la reine des Belges ont ensuite été accueillis à l’Élysée par Emmanuel et Brigitte Macron pour un entretien commun entre les deux couples. Un dîner d’État sera également offert en leur honneur dans la soirée à l’Élysée. En attendant, le couple royal rencontrera le Premier ministre Michel Barnier lors d’un déjeuner à Matignon.
Lire aussi
Isabelle Altmayer, l’épouse discrète dans l’ombre de Michel Barnier
Première visite depuis 2003
La dernière visite d’État en France d’un souverain belge remonte à 2003, lorsqu’Albert II et son épouse Paola, les parents de Philippe, avaient été accueillis par Jacques Chirac. Emmanuel et Brigitte Macron ont, de leur côté, effectué une visite d’État en 2018 en Belgique. “Ce voyage constitue une nouvelle occasion de célébrer l’amitié fraternelle qui unit la France et la Belgique”, a souligné la présidence française. Il permettra “d’approfondir la relation bilatérale de défense et de sécurité, la densité des échanges économiques et commerciaux ainsi que la coopération académique, scientifique et d’innovation, qui contribuent à la souveraineté européenne”, a-t-elle ajouté. Les deux pays entendent notamment approfondir leurs relations, y compris au niveau européen, dans « le domaine de la transition énergétique et de la défense », a précisé le ministère belge des Affaires étrangères.
ÉCOUTEZ LES SCANDALE