Une « journée de violence » policière pour mettre fin à la délinquance ? La nouvelle proposition controversée de Donald Trump : Actualités

Une « journée de violence » policière pour mettre fin à la délinquance ? La nouvelle proposition controversée de Donald Trump : Actualités
Une « journée de violence » policière pour mettre fin à la délinquance ? La nouvelle proposition controversée de Donald Trump : Actualités

Pour mettre fin à la délinquance, Donald Trump suggère « une bonne journée de vraie violence », durant laquelle la police aurait tous les droits. Une déclaration aussitôt complétée par son équipe de campagne, rapporte Politico.

Encore une déclaration choquante. Lors d’un meeting à Erie, dans l’État américain de Pennsylvanie, dimanche 29 septembre, Donald Trump a une nouvelle fois marqué les esprits en utilisant une image polémique : une journée de répression policière violente » et “très dur”pour éradiquer la criminalité. “Une heure, c’est dur – et je veux dire vraiment dur” la violence des forces de l’ordre, “et la nouvelle se répandra”délinquance « cessera immédiatement »» a-t-il ajouté, repris par Politico.

Une simple blague

Commentaires comparés dans la presse à la série de films d’horreur Cauchemar américainau cours de laquelle un gouvernement autoritaire organise une soirée de « purge » annuelle, au cours de laquelle tout crime, même le meurtre, est autorisé. Interrogé sur le sujet, l’un des responsables de campagne du candidat républicain à la Maison Blanche s’est tempéré, précisant que Donald Trump “je plaisante”et que ses déclarations ne désignent pas de mesures concrètes. Et rebondir “anarchie” créé par “Kamala Harris dans certaines de ces communautés à travers l’Amérique, en particulier pendant son mandat de procureur général [en Californie] quand elle encourageait les criminels ».

L’Ombre du Capitole

Cette nouvelle sortie intervient alors que l’homme d’affaires est rattrapé dans plusieurs sondages par son adversaire démocrate, Kamala Harris. S’il est élu, Donald Trump pourrait également ne jamais répondre de sa mise en examen dans l’affaire des émeutes du Capitole, dont le procès fédéral à Washington a été reporté par la Cour suprême des Etats-Unis. La tendance de l’ancien président à stimuler ses partisans inquiète le camp démocrate, qui craint qu’il n’accepte pas le résultat des élections de novembre prochain.

publié le 1er octobre à 16h43, Joanna Wadel, 6Medias

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