Vingt-sept prévenus, dont Marine Le Pen, comparaîtront à partir de ce lundi devant le tribunal correctionnel dans l’affaire des assistants parlementaires européens. Une rencontre qui pourrait compromettre son calendrier politique.
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Envoyé permanent à Paris
Par Joëlle MeskensPublié le 29/09/2024 à 17h46
Temps de lecture : 1 min
CC’est un procès dont Marine Le Pen et le Rassemblement national (RN), en pleine entreprise de « notabilisation », se seraient bien passés. Alors que la chef des députés d’extrême droite affûte ses armes pour la rentrée de la législature et le discours de politique générale du Premier ministre Michel Barnier dans l’hémicycle ce mardi, elle devra passer la veille par la case « tribunal ».
Marine Le Pen et ses coaccusés risquent jusqu’à dix ans de prison et un million d’euros d’amende. Mais c’est surtout l’inéligibilité (elle risque jusqu’à cinq ans d’être mise à l’écart de la vie publique) que redoute celle qui devrait se présenter en 2027 comme la candidate naturelle de son camp, réservant Matignon à Jordan Bardella en cas de victoire à la présidentielle. élection.
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