Claude déffe les expositions à la Salle des Groanges jusqu’au mardi 31 décembre. Rencontre.
Qu’est-ce qui vous a amené à travailler avec Veneer Wood?
«Mes études universitaires tardives m’ont permis d’atteindre le grade de professeur certifié en arts plastiques en 2005, quelques années avant ma retraite. J’ai découvert le bois de placage pendant l’entraînement en faisant un échec. Pendant une exposition à l’Espace Ecureuil à Toulouse, j’ai rencontré Pierre Soulages qui exposait, entre autres, des œuvres faites avec une balle de noix sur du papier monté. J’étais tellement intéressé que j’ai fait 2 exemplaires. , Chance m’a amené à récupérer un grand stock de bois de placage qui allait être brûlé dans un hangar de l’ancienne usine de Dinguidard à Marciac où je vis.
Comment avez-vous utilisé ce bois pour créer vos peintures?
«Certaines espèces ont une veine et une couleur proche de la noix, c’est ainsi que j’ai créé des peintures dans l’esprit de ceux des âmes. Ensuite, j’ai cherché à diversifier les sujets abstraits et figuratifs en utilisant uniquement du bois naturel sans teinture. Cette contrainte implique des travaux de recherche importants dans le stock pour trouver la bonne veine et la bonne couleur, etc. des défauts, des accidents ou même des galeries de vers de bois peuvent être d’un intérêt plastique.
Vers les nouvelles réunions jusqu’au 31 décembre?
«J’ai exposé pour la première fois en septembre au Dungeon de Bassoues et après, je suis très heureux de présenter mes peintures dans ces magnifiques salles des Granges».