Un an. Cela fait désormais un an que Blair Kinghorn est arrivé à Toulouse. Et en moins d’une saison complète, il a complètement repris les systèmes du club et est devenu un élément indispensable de l’équipe, un peu comme Jack Willis avant lui, à son arrivée en provenance des Wasps. Deux exemples qui montrent à quel point le recrutement du Stade Toulousain est pensé dans les moindres détails pour trouver des joueurs qui adhéreront immédiatement au projet. Ces dernières années, cela n’a pas échoué.
Blair Kinghorn a tellement réussi sous ses nouvelles couleurs qu’il a réussi à placer pendant un moment Thomas Ramos, l’autre latéral du groupe, sur le banc. L’Ecossais partage également un autre point commun avec l’international français, outre son affinité avec le poste 15 : le fait d’être l’un des buteurs de l’équipe. Et pourtant, comme il l’a lui-même indiqué à Rugbyrama, il ne pratiquait pas cet exercice auparavant. Mais tout a changé à son arrivée en Haute-Garonne, avec un discours d’Ugo Mola qui a su le mettre en confiance.
Avant de venir, je n’avais pratiquement jamais rencontré Édimbourg. Puis, lors des négociations, Ugo m’a dit : “Tu es un bon buteur.” J’ai répondu oui. Je pratique tous les jours et j’ai gagné en confiance dans cet exercice. J’aime ça.
Si Blair Kinghorn est impressionné par les « super skills » dont disposent ses coéquipiers, il n’est pas le dernier sur la liste en termes de talent. Un talent qui n’a fait que grandir en jouant avec son nouveau club (il n’hésite pas à dire que même en Ecosse on remarque qu’il s’est amélioré), au sein duquel il a «une année merveilleuse« . Avec deux titres en quelques mois, on a envie d’y croire. “J.J’espère que la saison en cours sera aussi bonne», ajoute-t-il. Ça se passe bien, pour le moment.
Pour résumer
Un an. Cela fait désormais un an que Blair Kinghorn est arrivé à Toulouse. Et en moins d’une saison complète, il a complètement repris les systèmes du club et est devenu un élément indispensable de l’équipe. Il a notamment rendu son jeu plus complet en renforçant sa pratique d’un aspect du jeu qu’il avait laissé de côté en Ecosse.