Un mois après sa sortie, le phénomène sud-coréen Jeu de calmar est toujours dans le top 5 des séries les plus regardées du moment sur Netflix. Rien d’étonnant au vu des multiples records que cette nouvelle salve a battu dès sa sortie. Maintenant que les sept épisodes de la saison 2 sont sortis, tous les regards se tournent peu à peu vers les événements potentiels de la saison 3, prévue pour 2025. Alors que certains pensent que le maître du jeu pourrait s’allier avec Gi-hun, une autre théorie – plutôt solide – imagine que ce personnage pourrait revenir d’entre les morts. Mais c’est une révélation concernant le passage de la saison 1 à la saison 2 qui fait actuellement parler d’elle.
Jeu de calmar : la saison 2 a failli connaître un énorme changement
Dans une interview accordée au Korea Times, le directeur artistique de la série avoue avoir imaginé un gros changement pour la saison. Chae Kyoung-sun est revenu sur les discussions qui ont animé l’équipe de production concernant l’importance des couleurs dans le jeu : «Nous avons envisagé de rendre les survêtements des joueurs bleu ciel. J’ai montré un échantillon au réalisateur (Hwang Dong-hyeok), mais après y avoir réfléchi, il a dit : « Revenons au vert ». Et finalement, c’était la bonne décision de ne pas changer les couleurs des uniformes. Nous aurions été bombardés de plaintes de fans.» dit-il. Et il a probablement raison puisque l’opposition entre les joueurs verts et les gardes rouges fait partie intégrante de l’identité visuelle de la série.
Jeu de calmar : ce changement a quand même déplu aux fans par rapport à la saison 1
Mais un changement qui n’a pas retenu l’attention des fans concerne davantage le scénario. Dans la première saison, même si Gi-hun était le héros, leur personnage préféré était Jun-ho, le policier qui a infiltré l’organisation du jeu pour retrouver son frère. Si le personnage est finalement sain et sauf dans la saison 2, les fans ont tous convenu que l’arc narratif autour de Jun-ho les avait franchement ennuyés. Un avis auquel Wi Ha-joon, l’interprète du personnage, était lui-même d’accord.
