Au lendemain de la motion de censure adoptée par les députés contre le gouvernement de Michel Barnier, Emmanuel Macron s’est exprimé dans un discours le 5 décembre. Il a déclaré dans un communiqué qu’il nommerait un Premier ministre.
“Dans les prochains jours »et qu’il exercera son mandat présidentiel
“pleinement” jusqu’à sa fin, en 2027. Alors qu’il présentait un nouveau numéro deNous marchons sur la tête,
Cyril Hanouna s’est exprimé sur la situation de Michel Barnier. Et il en a profité pour taquiner Valérie Benaïm.
L’animateur de C8 a déclaré à propos du chroniqueur :
« Je ne suis pas comme Valérie Benaïm qui essaie de se positionner
obtenir un emploi“il a lâché. Avant de demander : « Allez-vous nommer Valérie Benaïm ministre de la culture éveillée ? Une sortie qui ne profite pas au principal intéressé, qui a récemment connu des petits problèmes de santé.
Valérie Benaïm : “Je suis très sensible aux enjeux sociétaux”
Profondément agacé par cette remarque, le chroniqueur de TPMP a répondu à l’animateur : “Certainement pas. Je suis très sensible aux questions sociétales. Et je suis très sensible aux sujets qui me semblent nécessaires. C’est tout. Très bouleversée, elle lâche alors : “C’est de la merde”. Des propos qui risquent de fâcher Cyril Hanouna.
Le décor du spectacle On marche sur la tête
ressemble parfois à un ring de boxe. Disputes, bisbilles, cris, entre les chroniqueurs l’ambiance est parfois électrique. Mais que les fans se rassurent, Cyril Hanouna et Valérie Benaïm sont
très amis. En fait, ils se connaissent depuis de nombreuses années et sont très soudés hors caméra.
Le sens du wokisme en langue française
Mais qu’est-ce que ça veut dire “être réveillé”le mot utilisé par l’hôte ? Selon Petit Robert, c’est une personne « qui est conscient et offensé par les injustices et les discriminations subies par les minorités et se mobilise pour les combattre, parfois
d’une manière sans compromis (surtout péjoratif, par dénigrement).
On dit aussi du Wokisme, dans le Larousse, que c’est un “idéologie inspirée par le réveilcentré sur les questions d’égalité, de justice et de défense des minorités, parfois perçu comme une attaque contre l’universalisme républicain. Une référence à laquelle Valérie Benaïm ne se reconnaît pas, prônant plutôt une ouverture d’esprit sur les questions de société.