Julien Bournival, l’un des protagonistes du documentaire Alphas, du journaliste Simon Coutu, a beaucoup fait parler ces derniers jours.
• Lisez également : Nous avons regardé le documentaire « Alphas » et voici 13 réflexions que nous avons eues pendant cette période
• Lisez également : « Ouf ! Quel malaise !” : 17 réactions à l’interview polémique sur “Alphas” à “Tout le monde en parle”
Son apparition tumultueuse à Tout le monde entalk, dimanche dernier, a entraîné de nombreuses sorties de personnalités québécoises et mardi matin, l’entrepreneur a réagi à la polémique.
• Lisez également : « Alphas » : La mère ordinaire n’a vraiment pas aimé l’interview controversée de TLMEP et elle soulève un point intéressant
• Lisez également : Le Pharmachien commente de manière puissante le passage des masculinistes dans les médias
Dans une publication rédigée en anglais.
Nous l’avons donc librement traduit pour vous.
« En grandissant, ce drapeau était important pour moi.
Il représentait une nation différente des autres.
Il représentait un esprit rebelle.
Cela signifiait que nous ne nous souciions pas de nous intégrer dans le moule.
Cela représentait le fait que nous pouvions célébrer notre individualité et être capables de nous démarquer dans la foule.
Ces jours-ci, lorsque je réfléchis à ces derniers jours, il est clair que tout cela n’est qu’une ombre du passé.
Dire cela me brise le cœur, mais je suis content que mes fils ne soient pas nés ici.
Nous pourrions être l’un des pays les plus riches du monde.
Mais nous choisissons d’accepter une idéologie marxiste et socialiste et une mentalité de victime. Nous choisissons la division plutôt que l’amour.
J’espère qu’un jour nous retrouverons la gloire de notre terre pour rendre nos ancêtres fiers.
Et mon objectif est de montrer l’exemple.
J’espère que je ne suis pas le seul à ressentir cela.
Mais si c’est le cas, je n’aurai pas peur de me démarquer dans la foule.
Je suivrai un chemin qui, je crois, mènera à la grandeur et à la gloire.
Car l’important n’est pas de rentrer dans le moule.
Il s’agit de faire ce qui est juste.
Même si cela nous rend impopulaires, incompris et détestés par beaucoup. »
Ok Julien.
Dans le passé, le Québec était BEAUCOUP plus marxiste et socialiste qu’aujourd’hui. C’est ce qui l’a rendu meilleur que le cauchemar néolibéral austère dans lequel nous vivons aujourd’hui.
• Lisez également : François Lambert firmly picks up the “alpha male” of Tout le monde en talks
Ce ne sont pas davantage de pompes à chaleur qui rendront le monde meilleur.