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entreprises, politiques… Vers la fin du wokisme après les excès ?

Donald Trump sera de nouveau locataire de la Maison Blanche ce lundi 20 janvier, l’occasion pour le président élu des Etats-Unis de porter un coup sévère au wokisme, au même titre que plusieurs entreprises américaines, après les dérives constatées.

Il veut mettre fin au wokisme. Le futur président des Etats-Unis entend faire taire cette idéologie qui n’a rien de positif selon lui, aidé par certaines multinationales américaines et des personnalités publiques comme le propriétaire de Meta.

Mark Zuckerberg est en effet l’une des principales figures à avoir tourné le dos au wokisme, censé défendre la justice sociale. Lui qui postait sur son Instagram des photos avec des drapeaux de la communauté LGBTQIA+ avant la dernière campagne présidentielle, fait désormais la promotion du masculinisme, par exemple.

Ce virage drastique est la suite logique de l’idéologie de Donald Trump, le nouveau locataire de la Maison Blanche prônant la fin du wokisme en raison de ses excès.

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Selon Patrick Martin-Genier, spécialiste des questions internationales, dans certaines universités ou entreprises, « les Afro-Américains ont été favorisés au profit des Blancs, une discrimination totalement inacceptable ».

Donald Trump pourrait notamment mettre en œuvre une politique anti-woke en interdisant les homosexuels et les transgenres dans l’armée américaine.

Des entreprises comme les supermarchés Ford, Jack Daniel’s et Walmart ont, de leur côté, annoncé la fin de la discrimination positive dans leurs entreprises.

 
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