Au début, de nombreux observateurs pensaient que cette réaction était une réponse aux cris des spectateurs pendant le match lorsque Novak Djokovic servait. Mais la raison était différente, comme l’expliquera plus tard le dix fois vainqueur de l’AO : «Je voudrais clarifier pourquoi l’entretien d’après-match n’a pas eu lieu sur le terrain, comme c’est la pratique habituelle. Il y a quelques jours, le célèbre journaliste sportif Tony Jones qui travaille pour Channel 9 s’est moqué des supporters serbes et a tenu des propos insultants et offensants à mon égard. Il a depuis choisi de ne pas présenter d’excuses publiques. Channel 9 non plus. Ainsi, comme ce sont les diffuseurs officiels, j’ai choisi de ne pas donner d’interviews pour Channel 9. Je n’ai rien contre Jim Courier ou le public australien. Je vais laisser la chaîne de télévision gérer cela comme bon lui semble. C’est tout.
Djokovic est surfait, c’est un has been, il doit être viré.
Tony Jones lisait les informations sportives du journal télévisé du soir de Channel 9 en direct de Melbourne Park vendredi dernier lorsqu’un grand groupe de fans de Djokovic brandissant des drapeaux serbes ont commencé à applaudir en arrière-plan. Dans ses propos, le journaliste a déclaré que le Serbe était «surfait, un has been et il a dû être viré » tout en montrant peu de respect pour les supporters.
-Après son match, dans les couloirs du stade, le Serbe a eu une discussion avec Craig Tiley, le directeur du tournoi : «Si vous voulez m’infliger une amende pour ne pas avoir donné d’interview sur le terrain, ce n’est pas grave. Je vais l’accepter parce que j’ai l’impression que c’est quelque chose qui doit être fait.
En quarts de finale, Novak Djokovic battra Carlos Alcaraz.
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