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Deux ans ont passé depuis qu’un appel à témoins a été lancé pour retrouver le jeune couple. Aujourd’hui, Patrick – le père de Leslie – et sa compagne, Émilie Cardré, affirment qu’« il y a encore des choses à découvrir ».
Deux ans après les meurtres de Leslie Hoorelbeke et Kévin Trompat, la douleur reste vive pour Patrick, le père de la jeune femme, et pour Émilie Cardré, sa belle-mère. Une reconstitution des faits a été organisée début octobre dernier. Les cinq suspects, tous accusés de “meurtre”, “enlèvement”, “enlèvement”, “recel de cadavre”, “altération de la scène du crime”, avaient participé à cette phase décisive de l’enquête qui s’est déroulée à Prahecq (Deux -Sèvres). Ce lundi 25 novembre 2024, deux ans se sont écoulés depuis la disparition de Leslie et Kévin.
Aujourd’hui Patrick et Émilie souhaitent que les investigations se poursuivent : le couple raconte à nos confrères Sud-Ouest que dans ce dossier « il y a encore des choses à découvrir ». Tous deux conservent soigneusement toutes les nouvelles informations liées à l’enquête, contenues dans le dossier : « Nous avons découvert des éléments, comme cet ADN masculin retrouvé sur les sous-vêtements de Leslie jetés dans la benne de Puyravault, décrit le père de Leslie. Il appartient à un homme porté disparu depuis dix ans dans l’est de la France. Pourquoi n’essayons-nous pas de le retrouver et de l’interroger ?
Un « cocktail explosif »
Selon nos confrères, cela pourrait être ce que l’on appelle un « transfert d’ADN » : « Je serre la main de quelqu’un, je lui donne mon ADN. Cette personne touche l’objet et ne laissera pas son ADN mais le mien”, a expliqué le général François Daoust, ancien directeur de l’Institut national de recherches sur la gendarmerie (IRCGN) à BFMTV. Patrick et Émilie souhaitent toutefois que toutes les pistes soient étudiées avant le procès qui devrait se tenir en 2026.
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Alors que le couple rentrait au domicile de leur ami et principal suspect, Tom Trouillet, Leslie et Kévin ont été brutalement agressés à coups de machettes et de marteaux par un commando parfaitement organisé. Tom Trouillet a assuré à un psychiatre qu’« il n’y avait pas de projet de mort ». Selon les conclusions de l’expertise réalisée par le psychiatre, le principal suspect a agi “sous l’effet d’un cocktail explosif : l’incapacité de supporter la rupture émotionnelle, le désir de vengeance envers les deux victimes et la perspective de se retrouver libérés”. de la dette de Kevin.”
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