Depuis plus d’un an, l’armée israélienne mène une lutte sans merci contre le Hamas dans la bande de Gaza, qui s’apparente à une guerre contre les civils. Le misérable territoire a subi d’immenses destructions et les morts continuent de suivre les bombardements quotidiens sans que le monde ne réagisse.
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BBande de Gaza, novembre 2024. Les journalistes étrangers sont toujours interdits par l’occupant israélien, mais l’information quitte le petit territoire. Tous les jours. Merci aux journalistes de Gaza, même décimés (plus de 130 tués en un an), grâce aux vidéos envoyées par la population, grâce aux agences onusiennes ou encore grâce aux quelques ONG présentes sur le terrain. Et cette information est déconcertante. A la tête du Conseil norvégien pour les réfugiés, Jan Egeland, ancien ministre et ancien diplomate, a pu s’y rendre et a tweeté le 6 novembre : « J’ai vu des destructions au-delà de l’imagination, de Rafah à la ville de Gaza. La destruction d’une société entière de plus de 2 millions de personnes, sur un territoire petit et densément peuplé. Il ne s’agit en aucun cas d’une légitime défense. »
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