l’essentiel
Passeur décisif sur le but du break signé Dönnum, pour la victoire 2-0 de Toulouse dimanche 10 novembre à Rennes, Yann Gboho, le locataire de l’aile gauche, arborait un large sourire en zone mixte. Tact pour tac et projection sur l’affiche de la rentrée, vendredi 22.
Troisième victoire consécutive, sur clean sheet, dixième place au classement pour la première fois cette saison ; bref : tout va bien. La trêve ne devrait pas arriver, n’est-ce pas ?
Bon on a encore besoin de repos, on a tout donné aujourd’hui. Honnêtement, nous allons bien. Mais en début de saison, nous avons joué de la même façon, mais nous n’y sommes pas parvenus. Là, on met des occasions en retrait quand il le faut et on défend bien. Oui, nous sommes très heureux.
Deux tirs cadrés, deux buts : on ne trouve rien de plus efficace que le Tef pour le moment !
C’est ce qui nous manquait auparavant, dis-je. On a travaillé à l’entraînement et ça paye.
C’est un véritable exploit de gagner au Roazhon Park, même si Rennes est malade.
Clairement. Nous continuons. Et le prochain match est à Paris ! Ce sera naturellement compliqué mais – petit sourire – nous l’avons déjà fait la saison dernière [succès 3-1 avec un but de l’intéressé]. Nous repartons avec quelques certitudes.
Avec Aboukhlal et King, on se retrouve de mieux en mieux sur le front offensif…
En jouant ensemble. Ensuite, avouons-le, avec la victoire, il est toujours plus facile de travailler. On va bien se reposer pour revenir en pleine forme au Parc des Princes.
Alors le premier but a été étudié en vidéo et pratiqué à l’entraînement ?
Oui. Touches rapides. Que ce soit Zak (aria Aboukhlal) ou moi, cela dépend du camp : appel, contre-appel et centre.
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