Une association de commerçants pourrait être créée dans les villages de Tertre, Hautrage, Sirault, Villerot, Baudour et Neufmaison

Du côté de Saint-Ghislain, l’idée de rétablir une association de commerçants vient d’être lancée par le syndicat d’initiative. Certains commerçants ont déjà exprimé leur soutien, avec l’espoir de donner un nouvel élan aux quartiers extérieurs au centre-ville et de faire du commerce de proximité un atout fort pour l’institution. « Il n’y a plus d’association de commerçants dans les villages et c’est dommage »souligne Lory Goavec, responsable projet et relations commerciales de l’office de tourisme.

Un « dry bar » ouvrira ses portes à Saint-Ghislain : « les horaires d’ouverture seront larges et aucun rendez-vous ne sera nécessaire »

« Les dynamiques peuvent être très différentes si nous sommes dans un village ou en centre-ville. Nous essayons donc de rassembler, de fédérer, de motiver les commerçants à se rassembler et il semble que cela ait bien commencé. Nous aurons une réunion en novembre. Le 14 pour que chacun puisse parler de sa propre réalité et proposer des idées. Nous sommes juste là pour rendre les choses plus faciles. Et si les premiers touchés sont les commerçants, il ne faut pas oublier qui fait tourner les affaires : les clients.

C’est pour cette raison et pour qu’eux aussi aient leur mot à dire qu’une enquête a été lancée sur les réseaux sociaux. “Nous avons déjà eu quelques réponses. Nous essaierons d’identifier les besoins et les attentes et donnerons à chacun la possibilité de s’exprimer. Nous pensons qu’il est important que les commerçants puissent également entendre certains commentaires, par exemple si les horaires d’ouverture sont trop inadéquats et empêchent les citoyens de privilégier les achats locaux.

Dans un premier temps, l’objectif serait de fonder une association unique de commerçants pour les villages de Tertre, Hautrage, Sirault, Villerot, Baudour et Neufmaison. « Nous verrons ensuite s’il y a une volonté de diviser davantage, étape par étape.», ajoute Lory Goavec, également commerçante. A noter qu’une première réunion avait déjà eu lieu en février dernier et que l’intérêt de certains commerçants s’était déjà manifesté.